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 A long time ago, you were mine • Emma & Leonard

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Leonard Torrance
Leonard Torrance
INSCRIPTION : 28/06/2015
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MessageSujet: A long time ago, you were mine • Emma & Leonard   A long time ago, you were mine • Emma & Leonard EmptyDim 28 Juin - 21:01



A long time ago, you were mine
Emma & Leonard

La musique résonnait contre les murs, l’écho allait jusque dans l’arrière-cour et faisait aboyer le chien de la maison voisine. Le groupe choisit n’était pas le plus discret non plus : Mudvayne, du bon son qui gueule bien fort comme dirait Leonard. Il chantait à tue tête, allongé sous une voiture sur laquelle il s’acharnait depuis maintenant un mois. Son client lui avait laissé dans l’idée de la récupérer comme neuve. Seulement, ça prendrait du temps à remettre ce petit bijou en état de marche. Heureusement, le mécanicien était quelqu’un de minutieux et prenait son temps pour parfaire son travail, quitte à recommencer lorsque le besoin s’en faisait sentir. D’ici une ou deux semaines, il était convaincu de pouvoir rendre la voiture à son propriétaire, le plus gros du travail était déjà fait. Tous ses gestes étaient mécaniques, il ne faisait plus attention et continuait de chanter en effectuant les tâches les unes après les autres. Manque de bol pour lui, il faisait atrocement chaud aujourd’hui, et ce tee-shirt déjà tâché d’huile de moteur était maintenant collant de sueur. Il ne rêvait que d’une chose : rentrer chez lui et prendre une bonne douche. Mais il était loin d’avoir terminé sa journée.
Au bout d’une bonne heure, Leonard estima qu’il méritait une pause. Il sortit de sous la voiture et se dirigea vers la cour du garage, où la plupart des voitures en réparation ou à vendre étaient stationnées. Toutes aussi belles les unes que les autres… Comme à son habitude, le garçon les admira une par une, leur envoyant presque des regards langoureux, et sortit une cigarette de son paquet. Il la cala entre ses lèvres et l’alluma avec son briquet. Son patron, Terry, était dans son bureau en train de gérer la paperasse du mois. Leo détestait devoir s’y coller, voilà pourquoi c’était le cinquantenaire qui s’en occupait. Son employé était bien meilleur avec des outils que devant des chiffres.

La musique de son téléphone changea pour passer sur Sum 41, un groupe qu’il écoutait quand il était encore au lycée. Un sourire nostalgique aux lèvres, Leonard se mit à chantonner en faisant quelques pas dans la cour. Il n’était que trois heures de l’après-midi. Pour beaucoup de personnes, une journée de boulot peut sembler interminable, mais pas pour lui. Il aimait son travail, passer des journées ici et se salir les mains. Il n’y avait que lui et son patron, une petite entreprise qui n’avait pas besoin de plus. Et toutes les tâches diverses étaient réparties. D’ailleurs, une se présenta à Leonard. Il écrasa sa cigarette sur un bidon servant de cendrier contre un mur et revint à l’intérieur du garage. Mais alors qu’il prenait un outil sur l’atelier, son patron sortit de son bureau et s’avança vers son employé. « Dis fiston, tu peux aller faire une course pour moi ? Il nous manque des bougies sports, le stock est bientôt épuisé… Tu peux juste passer la commande à la boutique de la galerie marchande ? J’irais les chercher quand ils les auront. » demanda-t-il en retirant ses lunettes de vue. Leonard reposa l’outil en soupirant et se tourna vers son patron, une mine d’enfant boudeuse se dessina sur son visage. « Faut vraiment que j’y aille ? J’ai encore pas mal de trucs à faire là… » Le supérieur secoua brièvement la main. « T’en fais pas je prends la relève. Comme ça tu pourras embarquer ta musique de tapette et me foutre un peu la paix. » Avec un ricanement, le mécano lui adressa un beau doigt d’honneur et alla débrancher son portable des enceintes. Il y cala ses écouteurs et les vissa dans ses oreilles. Il alla se laver un coup les mains et le visage, opta pour un tee-shirt aux manches déchirées par ses soins. « J’y vais, mais si tu saccages mon boulot, je te fais bouffer tes bougies ! » dit-il à son patron en lui lançant un regard perçant. L’intéressé leva les yeux au ciel, aucunement impressionné. Leonard attrapa sa planche de skateboard, et quitta le garage en direction du centre commercial.

Ce n’était pas la porte à côté, mais il n’avait pas envie de prendre sa voiture, autant profiter du bon temps. Il passait de temps à autre sur la route, parfois sur les trottoirs, une cigarette calée entre les lèvres. Après vingt bonnes minutes à rouler, il se retrouva enfin devant le dit centre commercial. Il cala son skateboard dans une main et entra. La boutique n’était pas loin, l’une des premières en entrant. Une fois à l’intérieur, il passa la commande comme demandée par son patron, remercia le gérant et quitta le magasin. Ce n’était pas si compliqué, mais tant de trajet pour si peu… Leonard regarda un instant autour de lui et fouilla dans la poche de son jean. Il lui restait quelques dollars en poche, de quoi se payer un truc à boire. Il ne chercha pas bien compliqué et se prit une canette de Coca à un distributeur automatique. Une fois la boisson en main, il en but une longue gorgée et se remit à marcher. Sauf que marcher et boire en même temps ne font jamais bon ménage. Comme dans n’importe quel cliché débile, Leo entra en collision avec quelqu’un. Dieu merci, le soda ne se renversa pas sur l’autre personne, mais sur lui… Il se recula brusquement. « Putain ! » Il baissa les yeux vers son tee-shirt et écarta rapidement le tissu de sa peau en tirant dessus. Prêt à s’excuser, il releva la tête et resta figé un moment. Il connaissait cette femme… Et là, l’illumination. Un large sourire se dessina sur ses lèvres. « Emma ? Oh bah merde alors… »
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Dernière édition par Leonard Torrance le Ven 3 Juil - 18:52, édité 3 fois
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Emma McKinley
Emma McKinley
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MessageSujet: Re: A long time ago, you were mine • Emma & Leonard   A long time ago, you were mine • Emma & Leonard EmptyDim 28 Juin - 22:03

A long time ago, you were mine
Leonard & Emma.
« Pour les nappes, tu préfères blanc cassé ou coquille d’œuf ? ». Emma lâche le magasine posé sur la table devant elle. Son regard se pose sur les deux femmes assises sur le canapé en face de celui où elle a pris place, comme une accusé face à ses juges. Son visage se teinte d'une légère grimace et du coin de l’œil, elle voit un sourire se dessiner sur les lèvres rouges de sa maman. « Euh... c'est quoi la différence ? ». Comme prévu, le regard noir que pose sur elle sa vieille tante lui donne presque des sueurs froides. Organiser un mariage n'est finalement pas si marrant que ça, surtout lorsque votre grande tante s'en mêle. « L'un est plus pâle que l'autre. », soupire la vieille femme et Emma plisse ses fines lèvres, vieille habitude qu'elle a depuis gamine. Son regard se pose sur la montre qu'elle porte à son poignet gauche. William n'est toujours pas là. Il est sensé être là, elle lui a demandé ce matin même s'il voulait venir, il a dit oui, mais Emma sait qu'il faut qu'elle se fasse à l'idée que son fiancé va lui faire faux bond. L'inquiétude grandit un petit peu plus en elle. William n'est clairement pas impliqué dans les préparatifs du mariage. En soit, ça ne dérange pas la jeune femme tant que ça, c'est simplement qu'elle a peur que ce manque d'implication signifie un doute chez le jeune homme. Et s'il ne voulait finalement pas se marier ? Et s'il ne l'aimait plus ? Et s'il voyait une autre femme ? Plongée dans ses pensées bien trop torturées, Emma est ramenée de force à la réalité par sa vieille tante qui fait claquer sur la table un énorme classeur. Emma sursaute, son cœur tambourine dans ses oreilles. « J'ai découpé des revues de plusieurs magasines, pour te donner deux-trois idées sur la décoration ! ». Les yeux de la brunette s'agrandissent à la vue de cet énorme classeur. Deux-trois idées ? Il doit y avoir des milliers de pages là dedans ! Elle se penche et attrape le classeur, surprise par son poids bien trop lourd pour ne contenir que du papier. « Tu peux le feuilleter ce soir ! ». Emma a presque envie de rire. Il lui faudrait une vie entière pour se plonger là dedans, mais, devant la bonne volonté de sa vieille tante, la jeune femme se contente de répondre d'un sourire crispé. « Oui, bien sûr ! ».

« Putain, ça pèse une tonne cette merde en plus ! ». Le classeur balancé dans le coffre de sa voiture, Emma rattrape de justesse son téléphone qui menace de tomber. Elle le réajuste au niveau de son oreille et écoute Zoey à l'autre bout du fil. « Si elle est si chiante, pourquoi t'as demandé à ta tante de t'aider à organiser ton mariage ? ». La jeune femme contourne son véhicule et ouvre la porte côté conducteur. « J'lui ai rien demandé, elle s'est incrustée ! En plus, madame a plus de thé, du coup, c'est bibi qui doit aller au centre commercial lui en acheter ! J'crois qu'elle essaie de m'éjecter de mon propre mariage ! ». Pour réponse, Emma entend le rire de Zoey à l'autre bout du combiné ce qui a le don de la faire rire aussi. Finalement, sa meilleure amie parvient à la détendre, c'est déjà pas mal. « Bon, j'retourne au boulot, courage ! ». Emma salue brièvement son amie avant de raccrocher et de démarrer sa voiture. Après une marche arrière maladroite, la voilà à rouler en direction du fameux centre commercial. Heureusement, sa patience n'est pas mise à rude épreuve puisqu'elle trouve rapidement une place et parvient à entrer dans le vaste centre commercial sans se battre pour se frayer un chemin. Grincheuse, elle dévale les grands couloirs. « Tout ça pour un thé, même pas bon en plus ! », râle-t-elle, avant de sentir une vibration au niveau de son sac à main. Fouillant dedans, elle en ressort son téléphone portable, un message de William s'excusant de ne pas pouvoir venir, lui redonne un peu le sourire. Au moins, il prend la peine de s'excuser, peut-être que ce soir elle aura des fleurs ou du chocolat... Non, il ne faut pas qu'elle pense au chocolat, sa grande tante péterait un câble si elle constatait la moindre prise de poids... Rangeant de nouveau son téléphone dans son sac à main, Emma finit par entrer en collision avec quelque chose... ou plutôt quelqu'un. « Putain ! ». Surprise, la jeune femme met quelques secondes avant de relever son visage et lorsque ses yeux croisent ces deux iris qu'elle connait si bien, la si bavarde Emma McKinley se retrouve muette comme une carpe. « Emma ? Oh bah merde alors… ». La brunette met de longues secondes avant de réagir. Leonard est là, devant elle, comme un fantôme du passé apparaissant devant elle par magie... Ça fait combien de temps qu'il ne se sont pas vus ? Dix ans ? Bordel que le temps passe vite ! « Leo ? », demande-t-elle, ne réalisant toujours pas que c'est bien lui, devant elle. C'est tellement bizarre, de le voir là, maintenant... Finalement, elle parvient à se reprendre, secoue son visage et ses yeux se posent sur le désastre que leur collision a causé sur le pauvre t-shirt du jeune homme. « Oh mince... désolée, j'regardais pas où j'allais, j'ai eu un message et... ». Elle plisse ses lèvres, consciente que sa surprise mélangée à un stress étrange la rend franchement bizarre. Il doit la prendre pour une grande malade. Super ! « Tu vas bien ? Ça fait un bail ! », déclare-t-elle alors, comme pour changer de sujet et tenter de paraître un petit peu plus normale. C'est bien ce qu'on demande lorsqu'on croise un ex, non ? Finalement, elle se permet de le regarder un petit peu plus. Il n'a pas tant changé que ça, toujours ce petit style de rebelle rockeur, les piercings en moins... Sa carrure est néanmoins plus affirmée. L'adolescent a laissé place à l'homme et ça lui va bien... De toute façon, les hommes ça vieillit bien, non ? Alors que Emma a simplement troqué ses vieilles grosses lunettes pour quelques rides au coin des yeux...
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Leonard Torrance
Leonard Torrance
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MessageSujet: Re: A long time ago, you were mine • Emma & Leonard   A long time ago, you were mine • Emma & Leonard EmptyLun 29 Juin - 0:32



A long time ago, you were mine
Emma & Leonard

Quelles étaient les probabilités pour que ce genre de choses arrivent ? Personne ne pouvait dire comment ce genre de situation se produisait, pour certains c’était le hasard, pour d’autres le destin. Mais en y réfléchissant bien, si Leonard avait vraiment refusé de rendre cette faveur à son patron, il n’aurait peut-être jamais croisé Emma dans ce centre commercial. Le scénario était vraiment typique de celui d’un film, celui qu’une bande d’adolescentes regarderait avec des pots de glace et des pop-corn. Quel con il avait été aussi de boire en marchant… Son tee-shirt en avait prit pour son grade, mais ce n’était pas important, il rentrerait prendre une douche ensuite. A vraie dire, il s’en fichait totalement. Tout ce qui l’intéressait pour le moment, c’était la femme qu’il avait bousculé, celle qui lui faisait maintenant face. Si on lui avait dit plus tôt qu’il allait la revoir, elle, il ne l’aurait pas cru. Voilà de très longues années qu’il n’avait pas pu regarder cette fille de ses propres yeux, et même s’il n’en revenait pas, il arrivait quand même à parler. Dans sa tête défilait des images, des souvenirs, encore très distincts et qu’il pouvait se remémorer à la perfection.

Emma avait été sa petite amie au lycée. Ils étaient sortis ensemble un moment jusqu’à ce qu’elle ne s’en aille. Ils avaient été carrément différents à l’époque. Niveau caractère, la jeune femme était son opposé total. Calme et posée, elle avait par plusieurs fois tenter de calmer l’esprit sauvage et impulsif de son petit ami de l’époque. Et mine de rien, il avait apprécié ces remises en place de temps en temps. Il n’était pas sortit avec elle par dépit contrairement à quelques autres, c’était différent. On dit que les opposés s’attirent, il faut croire que c’est vrai. Leonard se souvenait encore de beaucoup de choses, mais surtout de la colère qu’il avait ressentit à son départ. Il n’avait rien dit pour ne pas la blesser, mais cette rupture l’avait mit dans une rage folle. Mais qui était-il pour contester les décisions sur l’avenir de la brune ? Personne, et ça il avait vite comprit. Et ensuite, ils avaient gardé contact. Certes leurs mails ne dataient pas de toutes les semaines, mais assez pour qu’ils puissent se mettre au courant de quelques petites anecdotes de leurs vies respectives.

S’il n’avait pas été couvert de Coca, Leonard l’aurait sûrement prise dans ses bras, mais il n’en fit rien. Il secoua sa canette maintenant vide et la lança dans la poubelle à proximité. Ils en vinrent à ce cas typique de conversation, celui où on ne sait pas trop quoi dire, et pourtant, le mécano n’était pas bloqué comme un idiot. Il hocha la tête. « Ça va plutôt bien, et toi ? » Il la regarda plus attentivement, et avec un sourire attendrit, haussa les épaules. « T’as pas changé… quoi que si. Tu es beaucoup plus belle. Et particulièrement radieuse. » Il y avait un homme derrière tout ça, c’était évident. Leonard savait qu’une femme amoureuse dégageait quelque chose de différent, une sorte d’aura de bien-être. Et c’était le cas d’Emma. Non sans savoir pourquoi, un sentiment de gêne s’empara subitement du musicien, qui se mit à regarder brièvement autour de lui, dans l’espoir de ne pas rougir. Il passa une main sur sa nuque. Il avait très envie de discuter un peu plus avec elle, mais était-ce une bonne idée de lui proposer ? Elle avait probablement autre chose à faire maintenant… Oh et puis, le ridicule n’a jamais tué personne, et Leonard n’était plus à ça près. Il tenta alors le tout pour le tout, et cala sa main libre dans la poche de son jean. « T’aurais un peu de temps devant toi ? Parce que… je pensais qu’on… qu’on pourrait aller boire un café, discuter un peu et rattraper le temps perdu… » Il afficha un sourire crispé, gêné, maladroit. Un peu plus et il se serait recroquevillé, comme en l’attente d’un projectile en pleine figure. Mais il attendit la réponse de la belle brune en silence, les lèvres pincées.
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