Do not fuck with that kid • (ft Aaron Paul)

Quand il était adolescent, Leonard était percé au nez et à la lèvre, il a tout enlevé à ses 20 ans pour trouver du travail et se fondre dans la masse. • Il est très vulgaire, il est rare qu'il sorte une phrase sans qu'il n'y ai un juron avec. • Il se promène toujours avec une balle anti-stress dans la main, il s'en sépare rarement. • Il s'humecte les lèvres une centaine de fois par jour, et sans s'en rendre compte. • A ses 19 ans, il s'est fait tatoué tous le bras gauche. Les dessins sont ceux tirés du film The Wall du groupe Pink Floyd. • Quand il travaille, il faut toujours qu'il le fasse en musique. C'est pourquoi il a installé un matériel audio dernier cri dans son garage et diffuse des groupes à longueur de journée. • Il ne supporte pas l'autorité et devient toujours agressif quand on lui donne des ordres. La seule personne capable de le faire est son patron. • Lorsqu'il est mal à l'aise, il sort des plaisanteries à tout va pour dissimuler sa maladresse. Ça arrive souvent en présence d'un homme ou d'une femme qui lui a tapé dans l’œil. • Ses groupes de musique préférées s'arrêtent à Slipknot, System Of A Down, Metallica, Mudvayne et Black Sabbath. • Il est aussi tatoué au niveau de l'omoplate droite, un simple corbeau noir avec une symbolique particulière pour lui : c'est l'oiseau préféré de sa petite soeur. • Il adore les films d'horreur, dans son appartement, les étagères en sont remplis. Vous ne trouverez rien d'autres que ça chez lui d'ailleurs... • Si quelqu'un est physiquement à son goût, Leonard ne va pas hésiter à regarder cette personne de haut en bas, et on peut sentir la gourmandise dans son regard et dans son sourire. • C'est un grand impulsif, il perd facilement son calme et préfère régler les trois quarts de ses problèmes par la violence, même s'il peut lui arriver d'être diplomate. • Il dessine à ses heures perdues, enfin depuis ses quatorze ans. • Il joue aussi de la guitare et de la basse. • Bien qu'il ai l'air d'un sale pervers aux premiers abords, Leonard est un grand romantique prêt à tout et n'importe quoi pour sa moitié. • Il a essuyé des ruptures difficiles qui lui ont fait perdre confiance en soi en matière de relations amoureuses. • Il fait du skateboard la plupart de son temps libre. • S'il n'est pas dehors à faire du skateboard, Leonard est dans son appartement à jouer aux jeux vidéos. Il a presque une dizaine de consoles et plus d'une centaine de jeux à son actif.

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(♀ / ♂) Violent Pornography - Bon, tu sais tout aussi bien que moi que nous sommes des êtres humains. On a des besoins, des envies, et parfois on ne peut pas les maîtriser. Je t'ai clairement fais comprendre que tu étais à mon goût lorsque nous nous sommes rencontrés à cette fête. Je ne suis pas passé par quatre chemins, mais j'ai pesé mes mots quand même, faut pas déconner. Ni une ni deux, nous sommes partis dans ton appartement pour passer une nuit torride. Ça nous satisfait tous les deux, et nous avons décidé de garder contact pour cette fois-ci, faire véritablement connaissance. Non parce que c'est bien beau le sexe, mais j'aimerais te connaître davantage. Seulement, à chaque fois que nous nous voyons, ça finit toujours par une partie de jambes en l'air. On est comme des bêtes, incapables de contrôler nos pulsions animales. J'espère quand même qu'un jour, on finira par avoir une véritable discussion.

(♀) She's like heroin - On se connaît depuis un long moment, et notre relation ne fait que s'endurcir avec le temps. Tu es mon amie la plus précieuse, un peu comme si rien d'autre ne comptait que toi dans ma vie. J'aime ta bonne humeur, tes sourires, lorsque tu ris à mes plaisanteries, lorsque mes attentions te touchent... Je prends soin de toi plus qu'il ne le faudrait, je veux que tu sois heureuse et je suis là dans toutes les circonstances. Heureuse, triste, énervée, mélancolique, tu peux compter sur moi. Je débarque à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit pour te tenir compagnie. On passe des journées entières ensemble à sortir, regarder des films, parfois même on se permet de partir en vacances ensemble. Il y a beaucoup de petits gestes anodins que j'apprécie avec toi : le fait que tu te colles à moi lorsqu'on dort ensemble, se tenir la main lorsqu'on marche tous les deux, me faire partager le contenu de ton assiette, ou cette manie que j'ai de jouer avec tes cheveux... Tu es définitivement l'amie que j'ai toujours rêvé d'avoir. Merci d'être dans ma vie.

(♂) Fuck the system - Alors toi, t'étais définitivement le pote de défonce dont j'avais besoin ! Nous avons les même contacts pour nous fournir en herbe, et c'est comme ça qu'on s'est rencontré. Le courant est tout de suite passé. Tu aimes la musique, bouger et rencontrer des gens, comme moi quoi. Du coup, on a échangé nos numéros et on se retrouve chez l'un ou chez l'autre pour se rouler un joint. On finit toujours dans un nuage de fumée à parler de choses et d'autres. Malgré tout ça, t'es un type bien que j'aime apprendre à connaître. On arrive toujours à trouver un sujet de conversation. Tu es ouvert d'esprit, et ça me plaît. Je n'ai pas encore trouvé quoi que ce soit qui me dérange chez toi, et je ne pense que ça arrivera de si tôt. On ne se contente pas de se retrouver pour fumer, il nous arrive de sortir et de voir du monde, d'aller faire la fête à droite à gauche. T'es cool mec, reste comme t'es, et à quand la proche soirée fumette ?

(♀ / ♂) War - Il fallait bien un jour que je tombe sur quelqu'un que je ne peux pas blairer. Et c'est tombé sur toi. J'ai vu à ton air suffisant que le courant ne passerait pas. Tu es venus à mon garage pour faire réparer ta voiture. Sauf que ta bagnole ne correspondait pas à celles dont je m'occupe. Tu as commencé à élever la voix, crier au scandale et je t'ai remis rapidement en place pour te faire comprendre que j'étais celui qui prenais les décisions ici. On aurait très bien pu s'en tenir là, mais on s'est revu plus tard par hasard, et tu as remué le couteau dans la plaie. J'avoue que je t'ai cherché aussi. L'ambiance est électrique, tu es détestable, et je suis odieux avec toi. J'espère qu'on en viendra jamais aux mains, parce que crois moi, homme ou femme je m'en cogne, je serais ravis de t'envoyer mon poing dans la gueule pour te faire comprendre que tu t'en es pris à la mauvaise personne.

(♀) Boom ! - Nous sommes sortis ensemble il y a quelques mois. Ce n'est pas pour rien que tu étais ma petite amie, nous nous entendions bien. Certes nous n'avions pas exactement les même centres d'intérêts mais chacun faisait découvrir à l'autre ce qu'il aimait. C'est comme ça que j'aimais notre relation. Nous étions heureux et bien ensemble. Tu avais même parlé d'emménager dans mon appartement, à vraie dire, tu y étais plus que dans ton propre chez toi. J'étais vraiment heureux avec toi, mais il a fallut que notre relation s'arrête du jour au lendemain. Tu as dit avoir besoin de temps pour réfléchir parce que tu étais perdue. Moi, j'ai pris la mouche et nous nous sommes violemment disputé. Après m'avoir mit une gifle bien méritée, tu es partie et je ne t'ai pas revu. Si j'avais fermé ma gueule ce soir-là, peut-être que tu serais toujours là, que tu serais revenus vers moi, mais c'est trop tard maintenant. Je ne sais pas si tu me détestes autant qu'avant, et je ne sais pas comment je réagirais le jour où je te reverrais...

(♂) Suggestions - Ok, j'ai compris, je te mets mal à l'aise. Mais en même temps, tu m'amuses. C'est grâce à un ami en commun que nous nous sommes rencontrés. Et y'a pas à dire, t'es vraiment canon comme mec ! Je te l'ai fais comprendre, mais tu ne manges pas de ce pain. Nous avons tous les deux été clair, et je n'ai pas insisté davantage. Cependant, j'ai envie de m'amuser un peu. Alors, sans te manquer de respect, je te fais des suggestions osées, te drague ouvertement et fait tout pour que tu te sentes gênés. Tu ne trouves pas ça drôle, et tu ne te vois pas flirter avec un mec, ce n'est vraiment pas ton truc. Tu as beau me rejeter, je reviens à la charge. Je trouve ça distrayant, mais rassure toi, je n'ai pas l'intention de te violer dans ton sommeil... Tu es un gars gentil pour ne pas m'avoir encore envoyé ton poing à la tronche, et je t'en remercie. Je finirais par arrêter, mais jouons encore un peu, tu veux bien ? Non ? T'as pas le choix de toute façon.

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